Psy 2 français partie A1

Psy 2 français partie A1

Psy - 2 - français



Manuel Diez Matilla : un destin oublié



Psychanalyse de l’œuvre de Manuel Diez Matilla

2ème partie

Refonte au mercredi 20 octobre 2021

Par Christian Diez Axnick

Manuel ou l’assurance et la maturité.



Qui dit psychanalyse, veut dire dans cet essai de plus large compréhension de l’œuvre de cet immense artiste, qui a peint des centaines et des milliers de toiles qui sont toutes des chef-d’œuvre, s’appuyer sur un raisonnement correct, construit, et concret.

On ne décrypte pas facilement les mille et une facettes d’une telle œuvre, aux bornes si distantes les unes des autres, aux différenciations si particulière dans l’appréhension de notre temps. Par exemple pour mon père le théâtre était un art majeur.

L’endocrinologie constitue une des bases, un des socles de la pensée et de l’explication psychiatrique. Le livre « Les hormones sexuelles » des professeur K.D. Voigt et du docteur H. Schmidt, paru chez Robert Laffont, me semble constituer une bonne introduction à cette science développée assez tôt. Ici, je risque un parallèle.

Une force de la nature comme manuel Diez Matilla, un génie si vif, si profond, ne peut s’étudier qu’en prenant en compte toute l’acception du terme psychanalyse.

Il vaut mieux connaître déjà les 5 principales religions monothéistes, dont le judaïsme, le christianisme ( protestantisme, luthérianisme et le catholicisme ), l’Islam avec le Saint-Coran, sans oublier les autres, tant dans leur pratiques que dans leur fondements, de façon à mieux appréhender et envisager une œuvre d’une telle dimension et d’une telle complexité dans l’approche des sujets de société.

Sans compter nous l’avons dit le bouddhisme, l’hindouisme, les religions orientales et extrême-orientales, puisque mon père a travaillé dans la laque de chine et de Venise toute sa vie ou presque, disons durant la majeure partie de sa vie active. Je connais un peu moins ces religions, même si j’ai un peu fait connaissance avec le bouddhisme à l’université.

J’aime bien le livre « Spirite », d’un grand poète indien et soufi comme Kabir, que j’ai lu parce que Nina l’avait chez elle. Je connais nettement moins le reste. C’est un grand livre de spiritualité.

La question est avant tout une question de discernement. L’artiste a connu de vives et profondes mutations et évolutions, avec un fils directeur stable : sa méthode, son style pictural. Sa pensée a évolué aussi de fil en aiguille. Sa maturité a été constante et appuyée.

Il vaut mieux connaître aussi l’histoire de l’art dans la région de Zamora, Valladolid, Toro, jusqu’à Salamanque, Tolède et Burgos, et même plus loin, tellement tant de choses et d’artistes s’y recoupent.

Je dirais que cette dimension correspond aux débuts, au launching de l’artiste.

Zurbaran, Ribera, tant d’autres se sont fondus dans cet univers indivisible.

Une des amies de mon père, Marie Raso Moutinho, avait dans sa famille une proche nommée Isabelle Wallon Raso, qui vit aujourd’hui non loin de Tolède, ou du coté de Gérone. Elle s’appelle aussi Allemand, comme Aléman.

Je recommande si l’on aborde la partie classique de l’œuvre de mon père la lecture du livre « Les figures de style », de Catherine Fromilhague, chez nathan Université, qui dresse bien le panorama des tropes dans la littérature ou le théâtre.

Un autre ouvrage qui peut s’avérer très utile dans la compréhension de son œuvre s’appelle « Les termes clés de l’analyse du théâtre », d’Anne Ubersfeld, paru aux éditions du Seuil.

On ne peut se satisfaire de l’ignorance, dès que l’on tente de mieux expliquer quel furent les passions et les drames, l’incompréhension dans laquelle a parfois vécu un tel artiste.

Car de nos jours et avec les temps qui courent, la société ne reconnaît pas les grands artistes, mais cherche à les réduire aux strictes limites qu’elle s’est fixée.

A vrai dire, chez Manuel Diez, la montée du psychisme est un fait avéré, le besoin et l’envie de peindre sont des données constantes de sa vie. C’est le peintre du besoin et de l’instant. Le « moment », terme mathématique, est l’instant ou il a choisi de commencer une œuvre, pour l’achever et la finaliser au fur et à mesure.

C’est une autre relation avec la création picturale, un autres corpus ou le peintre et son œuvre ne font qu’un, s’associent, se divisent, se séparent, se réunissent à nouveau, au gré de la progression de leur rapport l’un avec l’autre.

Manuel Diez vit sur une autre planète, celle de la maturité artistique et picturale, celle de la maîtrise étroite des mélanges de pigments les plus complexes et les plus difficiles.

Son monde est celui d’un représentant généreux et convaincu de ses idées.

La peinture a toujours été le principal catalyseur de son expression, de son caractère.

Il se retrouve en elle, et elle est en lui. Les deux forment un seul être autonome, vivant et fait de difformités, de contorsions, en un écoulement turbulent, un va-et-vient permanent entre la pensée et l’acte créateur. C’est le noyau de la famille.

Je dirais ici que la psychanalyse est techniquement parlant indissociable de l’endocrinologie. Au point de vue de nombre d’explications techniques et liées au fonctionnement. De la même façon et dans le même ordre d’idée, la couleur ne peut se séparer de l’artiste.

Le drame culturel existe, il est latent. Autant, chez l’individu assez faible, la montée du psychisme s’accompagne de problèmes, autant chez un individu sur de lui comme l’était mon père, elle se passe de façon linéaire. Elle se situe dans un continuum particulièrement éprouvé.

Mr Gigot, mon ancien professeur d’allemand, s’intéressait beaucoup à la psychanalyse, qui constitue un élément nouveau au 20ème siècle. Almuro est par exemple un compositeur de musique électroacoustique, un proche de Xénakis, qui a longtemps traité l’absurde, ses interférences sur l’homme.

L’endocrinologie est avant tout une science proche de l’exact. Habituellement, Manuel Diez était
d’une très grande vigueur physique, ce qui n’est pas à l’instar de sa déchéance peu avant sa mort.

Mon père considérait que la constitution de 58 était un chef-d’œuvre. Je suis plus partagé sur la question.

Je trouve, et l’histoire récente le prouve, que l’étonnante complicité des Etats-Unis et de l’Europe avec l’état israélien qui commet les pires crimes en Palestine, est une forme de décadence. Jésus était un juif palestinien. Israël a commis et commet les pires abominations en Palestine. Cette déchéance morale est profonde et organisée par le haut.

Le pire est que cela ne dissuade pas l’intégrisme juif. J’aimerai tant qu’une femme comme Berthe Mann, très proche amie de ma mère, reconnaisse qu’Israël a volé leur terre aux palestiniens, en assassinant des milliers de gens pour 2 ou 3 victimes.

Lorsqu’il travaillait comme copiste au Louvre ( il a ete au Prado aussi ), mon père fit la connaissance d’Antonio Illan, qu’il devait prendre à son service par la suite. Les Illan sont nos amis depuis 30 ou 40 ans depuis. Nous connaissons toute la famille et nous avons souvent passé le réveillon ensembles, mais maintenant, comme Mme Illan n'a plus vraiment la santé, elle est partie plus loin chez sa fille, puis elle est morte.

Par contre, mon père n’a pas gardé Antonio Illan en CDI. Une fois, c’est tout juste s’il ne lui demandait pas un million d’anciens francs pour poncer une misérable table ! Mais je plaisante un peu. Antonio l'aidait ponctuellement, il lui servait d'appoint suivant ses besoins. Il a eu deux enfants d'un premier mariage avec Claudia, une aveugle.

L’actualité récente est terrible. Manuel Diez fait figure d’exception dans ce monde affreux et sanglant. Qu’il me soit permis de faire de lui un exemple, au travers du SIDA et des années 80. Surtout avec un président qui s’octroyait des augmentations de salaire de 140%, ou s’achètait un avion Falcon à 45 millions pour s’aligner sur les autres chefs d’état. Le contraste entre l’opulence, le cynisme, la haine, le mépris de l’autre et la misère est élevé. Sous Sarkozy, le déficit public a été multiplié par deux. Sans compter les 500 euros quotidiens il y a encore quelques temps pour que Mme Dati puisse lire les journaux, ou ses 10 véhicules de fonctions, 10 taxis.

Contrairement à ma femme Hanifia qui le détestait et changeait de chaîne dès qu’il passait à la télévision, je lui accorde qu’il a tout de même été avec Cécilia, qui possède un lien de parenté avec Isaac Albéniz. Il faudrait dit-on 25 vies des plus grands pianistes pour ne jouer à peine qu’un dixième d’une œuvre pianistique comme Ibéria. Rachida Dati était une proche de Cécilia, il a juste attendu un an avant de la lâcher après son divorce, question de principe. C’est la seule de ce gouvernement qui a tenté d’insuffler quelque chose, mais d’autres étaient plus diplômés et plus qualifiés.

De fort, j’ai vu mon père passer à un état d’extrême faiblesse. Dans sa jeunesse il avait des idées franquistes. Mais à une époque d’idées généreuses. Franco est le premier et le dernier à s’être dressé face à Hitler, notamment avec le fameux épisode du train, contrairement à ce que raconte une certaine propagande de gauche 40 après. Il n’a pas à en avoir honte, même si ses idées ont évolué
très différemment par la suite.

A ses débuts, Franco était amiral, lorsque les américains ont mobilisé toute leur flotte ultramoderne, des milliers de navires de guerre et 3 millions d’hommes pour nous extorquer les philippines. Il est le seul, contrairement à Pétain, Laval et Mussolini, à ne pas avoir livré un seul juif aux nazis. Il est le premier dirigeant atlantiste d’Europe, le premier et de dernier à s’être opposé à Hitler. Mais rappelons déjà qu’Hitler était un allemand né en Autriche aux origines juives pas si lointaines, ce qui lui porte un certain paradoxe, et dont des journalistes américains on dit récemment qu’il est né avec un seul testicule. Il ne faut pas abuser, car beaucoup de gens ont souffert sous le nazisme. « Unter den Linden », comme dit ma mère.

Le seul après Franco c’est Roosevelt. Notamment parce que Franco a posé un lapin à Hitler avec ce donc célèbre épisode du train. Il aura fait beaucoup pour les musulmans, les juifs, l’église, même si les pires et les plus sanguinaires combattants juifs ont été dans ses rangs.

Face aux américains à ses débuts, nous ne pouvions opposer que deux ou trois rafiots et deux ou trois coquilles de noix. Franco a beaucoup fait pour l’église, mais aussi pour les musulmans et les juifs. Vers la fin de sa vie mon père ne l’aimait plus tellement. « No dice enseguida … ».

Il faut bien comprendre qu’à cette époque, l’honneur politique était encore à peu près possible.





Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui. Si je prends l’exemple de mon oncle Norbert, qui est avec une jeune femme des philippines, Julieta qui était venue à Paris avec ses soeurs, et bien il est l’anti-Espagne incarnée, enfin dans une certaine mesure. Norbert était très drôle étant petit, lorsqu’on l’habillait pour le carnaval.

C’est à la fin des années 80 que mon père a attaqué Mr Charpentier, le directeur du musée Cortot, qui ne lui avait payé que la moitié de son salaire durant trois ans. 3 ans de procédure et de procès ont suivi.

Mon ami Jean Seigaud dont j’ai déjà parlé, qui est le dernier aviateur français a avoir participé à la bataille d'Angleterre, a couru en cyclotouriste avec Luis Ocaña.

Il avait mis « la pâtée » à Michel Drucker, le présentateur de télévision. Il est aujourd'hui paraplégique, à moins qu'il ne soit mort depuis le temps que je ne l'ai plus revu.

Ocaña s’est donné la mort alors qu’il se savait atteint d’une hépatite. Mes deux frères étaient mordus de cyclisme. Pour mon père, c’était bien simple, tous se dopaient. Les seuls sports qu’il tolérait étaient la natation et la gymnastique. Hanifia et moi avons acheté deux vélos depuis. Je dois acheter une pompe pour réparer les roues.

Lorsque Mme Thatcher a passé 30 ans à établir de faux titres de propriétés des Malouines, déjà on l’a vu, tout s’est terminé dramatiquement. Idem avec une importante partie de la gauche ou des communistes, qui aiment à réviser l’histoire à l’envers 40 ans plus tard. Le lobbying anti-espagnol est puissant.

L’anti-Espagne est puissante comme en parle Franco dans ses mémoires ( Il y cite les Polo, nom également d’une partie de ma famille. Est-ce un hasard ? ). L’Angleterre a tout de même déclaré la guerre uniquement sur la base de faux en écriture. La guerre des malouines a coûté la vie à des milliers de soldats. Alors vous savez, si pour la tradition anglaise la reine est censée amener la paix et la sécurité partout ou elle se rend, on reste assez loin d’un ordre sérieux. Je préfère Jeanne d’Arc à l’église saint-Saturnin, même si je n'aime pas du tout les gens qui l'ont récupérée.

C’est une des raisons qui ont fait que sa dimension publique a été amoindrie. Des gens de ma famille allemande se sont battus contre les anglais à Vamy, là ou la reine d’Angleterre va faire ses macabres célébrations. Ils y ont laissé la vie d’ailleurs. J’ai toujours été marqué par l’extrême misère de l’Espagne de mon enfance, ou d’une partie minime de celle-ci.

Je dois dire que ma sensibilité anglo-saxone reste un peu plus germanique. Les Windsor sont tous d’origine germanique du reste. Le duc d’Edimbourg a même cassé la jambe à l’un de mes amis lors d’une prise d’arme. Il s’en est fallu d’une seule voix m’a confié ma mère pour que la langue allemande soit adoptée comme langue officielle des Etats-Unis.

On le voit dans le livre de Funck-Brentano sur Martin Luther, aux éditions Bernard Grasset, Hitler a bien sûr repris certaines choses sur Luther. Un journaliste américain rapporte donc nous l’avons dit qu’Hitler n’avait qu’un seul testicule, au grand désespoir de sa mère, qui concevra un deuxième enfant avec son mari. Il l’a exaspérée.

Luther est le premier théologien allemand qui ait traduit l’ancien testament et le nouveau testament en allemand. C’est un héros, certes controversé, mais un héros.

On le reprendra sur les pièces de monnaie par exemple. Moi j’aime les allemands de Silésie (Schlésien ), je ne rentre pas trop dans le cadre nationaliste « bon ton ». Je dis que ce pays n’a jamais été ni russe ni polonais, c’est tout, pas plus que la Prusse orientale, qui a été allemande durant des millénaires.

Edith Beer, une très proche amie de ma mère qui porte le même nom que celui de ma tante disparue, est originaire de Silésie. Elle nous a rendu une petite visite récemment, en octobre 2010. Albert Einstein était il me semble d'origine souabe..

Irina, une amie de Marita, une autre de mes tantes, est elle originaire de Mazurie, d’ou vient la Mazurka. Là encore, cette région a toujours été et est toujours à très forte majorité allemande depuis des millénaires. Pendant la guerre, un soldat russe avait braqué sa mère.

Elle lui avait répondu que s’il la tuait il serait obligé de tuer sa fille aussi. Les polonais et les russes ont toujours été particulièrement oisifs et invivables dans ce pays qui n’a jamais été le leur.

Récemment en revanche, j’ai pu assister au spectacle de chœurs et de danse de l’orchestre de l’armée russe, qui s’appelait auparavant les chœurs de l’armée rouge, nom plus engagé. Les danseuses et les danseurs sont exceptionnels, taille fine et taille de guêpe. Ce sont des danseurs de plus petit gabarit, qui n’ont pas réussi à rester au bolchoï, mais les chorégraphies sont toutefois remarquables.

Luther, pour en revenir à lui, était un grand réformateur, plutôt qu’un prophète.

Il a rédigé ses 95 propositions, s’est élevé contre les indulgences, mais a cautionné aussi des crimes assez abominables. A l’époque, l’église abusait le peuple, et lui demandait de remplir les caisses. Il fallait payer pour que son â me puisse monter au ciel.

Les indulgences étaient vraiment une forme d’assassinats programmés. L’église romaine assassinait en masse avec ce stratagème.

Manuel Diez n’a pas réussi à protéger ses fils, notamment David, mais que pouvait-il faire ? C’était un génie fabuleux. Et comme toujours, l’histoire se dérobe sous leurs pieds.

Ou en sommes nous aujourd’hui après Sarkozy, que ma femme Hanifia détestait comme je l’ai dit au plus haut point qui soit ? La France est au bord du gouffre.

Justement, les gaullistes, qui sont si on veut, ou en quelque sorte par une espèce de métaphore, le grand esprit invisible dont parle Jésus, c'est-à-dire autre chose que des communistes, se sont fait une fois de plus les valets d’une potiche comme Sarkozy.

Le pays est dans l’impasse politique, avec des nuées d’affairistes, de menus tyrans locaux, de caciques, de profiteurs. Tous veulent qu’on rentre dans leur jeu. De temps en temps ils font un peu de show-biz pour se requinquer, et vous offrent des petits fours.

Du moment que l’argent rentre dans leur poche ils sont contents. L’un d’eux avait même invité Sitting Bull, du moins son descendant. Les français sont comme des bébés, on peut en rire aussi.

Je ne fais pas d’à priori, je ne fais pas une fixation. J’observe que tant qu’ils nous piquent nos femmes ils sont contents, mais au fond ils se foutent bien de nous. Les horreurs que les israéliens ont commises en Palestine prouvent les limites de ce qui peut se faire

On ne peut accepter de se borner à admettre de tels crimes, aux conséquences incalculables. Personne ne peut accepter cela. Plus rien ne sera jamais plus comme avant. Le monde n’a plus d’autre issue que d’attaquer Israël. Il n’a plus d’autre choix.

Et même les juifs les plus intégristes le savent, ce n’est pas acceptable. Qu’on leur rende leurs terres. Rendez leur leurs terres un point c’est tout.

Comment peuvent-ils assassiner des enfants de la sorte ? Ce n’est pas possible.

Voilà, le monde est ce qu’il est. La lâcheté est partout. Il est terrible ce constat.

On ne peut refaire ce qui a déjà été fait. Dans mon métier, lorsque je travaille à une étuve, ou à un réacteur, pour la fabrication de médicaments, je m’aperçois que ce métier je l’ai en partie hérité aussi. Ce métier, il est aussi une profession et rien d’autre. Aujourd'hui je travaille également pour des centrales nucléaires, dans l'agro-alimentaire, l'industriel.

Quelque part, je suis un peu soulagé que ma mère, qui est protestante et va au temple, se rapproche un peu des catholiques. Les temps sont durs. Ma femme, qui est du Maghreb, déteste les dirigeants du monde actuels, celui d’un Krach industriel et financier sans précédent, les Bush, Sarkozy, et autres cinglés, autres profiteurs des régimes. La spéculation est partout. Comment les gens ont-ils pu en arriver là ?



Partie A1 à suivre en partie B2